Face à la demande de plus en plus forte pour des techniques douces de Médecine Esthétique (non chirurgicales) visant à lutter contre les effets du vieillissement ou bien à restaurer l’harmonie, le nombre et le qualité des matériaux injectables a considérablement évolué ces dernières années et leur utilisation est devenue extrêmement fréquente.
C’est en 1934 que fut découvert dans l’humeur vitrée de l’oeil de boeuf, l’acide hyaluronique, ou hyaluronane, association d’un acide uronique et d’un aminoglycane.